"L'après vie confirmé par la science" Georges Osorio

      Ingénieur au CEA, l’auteur a participé à la construction du synchrotron à protons. Co-fondateur de la revue Science et Avenir, Georges Osorio est un chercheur renommé en métaphysique qui a beaucoup publié.
     Ce livre, accessible à tous,  propose une explication scientifique de l’après-vie et des phénomènes qui lui sont liés comme la transcommunication… Il fait également allusion à  l’Expérience de Philadelphie (rendre des navires invisibles) et au Chronoviseur.

     Beaucoup de gens ignorent cette nouvelle britannique. Il est courant en France où le public est l’un des plus désinformés en dépit d’une sursaturation audio-visuelle que peu de gens (dixit Marc BELLO sur ARTE) ont entendu parler de la découverte magistrale du savant italien le Père Pellogrino ERNETTI, bénédictin de la Grande Abbaye de San Giorgio à Venise, docteur en Physique Quantique et spécialiste de la pré-polyphonique (vibrations musicales inaudibles). Dans son laboratoire, il mit au point une sorte d’ordinateur-récepteur d’ondes permettant de ‘‘remonter le Temps’’ qu’il appela Chronovisor (chonos=temps ; visor=voir). Se rappelant la Loi de LAVOISIER (‘‘Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme’’), il pressentit que rien dans ce monde ne se faisait au Hasard. Il s’en suivait aussi que rien non plus ne pouvait se perdre, puisque nous vivions dans un gigantesque circuit fermé (‘‘l’Univers courbe’’ de EINSTEIN). De plus, depuis le grand MARCONI la technique de la radiodiffusion prouvait que des ondes porteuses de son circulaient sans cesse dans l’atmosphère (et sans doute ailleurs). Ses recherches auraient débuté à Milan dès 1956. Aussi eut-il l’idée de construire une sorte d’appareil à rétrograder le Temps par lecture des signaux-informations ‘‘ inscrits à jamais dans l’énergie diffuse’’. L’équipe de physiciens d’ERNETTI partit du postulat ‘‘informationnel’’ des ondes, s’appuyant sur les découvertes soviétiques de KIRLIAN démontrant électrophotoniquement que chaque être vivant, chaque objet, voire chaque évènement émettent des ondes qui leur sont spécifiques. Ces « perturbations » qui déforment l’énergie-éther de l’espace sont comparables à une signature virtuelle d’empreintes digitales laissées sur une vitre. Il suffit d’entrer en résonance vibratoire avec cette ‘‘perturbation’’ pour en saisir la signification, les auteurs, et les lieux et époques d’émission.

     Le ‘‘Chronoviseur’’ constituait donc une sorte d’hologramme en 3 dimensions si on se focalisait par exemple sur un personnage choisi au centre d’une scène.      Les scientifiques testèrent aussi l’authenticité des images et des sons récoltés en visionnant des scènes d’un récent Passé : discours de M. MUSSOLINI, allocutions du Pape Pie XII, etc. Remontant progressivement le Temps ils vécurent l’époque de NAPOLEON Ier, puis l’Antiquité de CICERON.      Les résultats furent stupéfiants. Selon certaines indiscrétions étrangères et des déductions d’ingénieurs, cet appareil se partageait théoriquement en fait en trois secteurs distincts :…..

...…. « Le Père ERNETTI réussit à percer le grand secret en « détachant » du Cosmos, où elles sont immuablement fixées, les images de ce qui fut de toute éternité.      Ce ne sont encore que des ‘‘clichés astraux ’’, que le Père contemplait avec émotion, mais ce sera demain (?) un gigantesque film sans limite que certains pourront capter et projeter, reconstituant en quelque sorte le ‘‘Journal TV’’ des anciennes civilisations. Comme nous traversons géophysiquement la constellation du ‘‘Verseau’’ (Ere de la Connaissance), on peut espérer que grâce à cette découverte des milliers d’énigmes seront enfin élucidées, ainsi que les surprenantes techniques de nombreux peuples. Mais il ne faut pas rêver : faire progresser la Science Moderne qui bute sur des obstacles dont le Passé a eu la clef ne gêne pas les Grands Argentiers de la planète, excepté lorsque soudain ces exhumations risquent de remettre en causes de sordides petits intérêts privés, ou risquent de faire réfléchir et d’émanciper l’homme des champs, ou celui de la rue… Déjà, avec son extraordinaire intuition, Maurice MAETERLINCK avait pressenti ce genre de découverte. Ainsi, un jour, tout en regardant passer une procession, il médita sur ce qui n’était qu’une image en mouvement dans la Nature, puis il écrivit : «… Durant quelques secondes ce petit tableau vivant en suspens sur la durée sans bornes, a basculé dans l’éternité où désormais il se maintiendra tout entier jusqu’à la fin des temps, si bien que si quelqu’un pouvait un jour ressaisir dans le passé l’image de ce qu’il fut, il l’y retrouverait intact, inaltéré, indélébile, irrécusable…’’… Quel génie !

‘‘…Le Père ERNETTI fut une personnalité fort connue du monde musical italien, mais ce fut surtout un scientifique, que la Physique du Son conduisit à  celle de la Mémoire universelle’’. Le Père BRUNE eut l’inestimable chance de le rencontrer dans son studio romain du Conservatoire Santa-Cecilia et de l’interroger sur sa prodigieuse découverte. Il lui déclara entre autres, ‘‘qu’il avait réussit son exploit par combinaisons sophistiquées des données de la Physique Nucléaire et des technologies antiques remontant jusqu’au VI ième s. av. n. è. En effet, PYTHAGORE et ses disciples savaient déjà que la Matière produisait des vibrations sous l’effet de chocs, et que leur nature variait avec la longueur et la nature du matériau. Il fut ainsi le père des pianos, cithares, et guitares. … On sait maintenant, grâce aux appareils de mesures fines des vibrations, que les ondes sonores, une fois émises, ne se détruisent pas, mais se transforment en demeurant éternellement présentes. De même, durant sa courte existence ici-bas, chaque être vivant laisse autour de lui un double sillage, l’un sonore, l’autre éthérique, autrement dit une sorte de ‘‘carte d’identité psychique’’ différente pour chaque être vivant. C’est en captant et en décodant cette ‘‘carte d’identité psychique’’ que l’on peut reconstruire virtuellement l’être ou la personne dans tous les détails de leur vie.

     Si l’on envisage de banaliser ce phénomène de perpétuation de l’information vivante on risquerait de ne pas plaire à tout le monde, disons même à peu de gens ! Voir et entendre les personnages les plus marquants de l’Histoire… dont des historiens réputés et honorés ont habilement blanchi ou noirci les vies et les œuvres, désormais jetterait le discrédit sur la moindre des publications officielles… Allons plus loin : il serait effroyablement dangereux qu’un tel engin tombe entre des mains stupides ou mal intentionnées. Bien que nos deux inventeurs aient gardé le secret de leur technique jusque dans la tombe, ce qui est très compréhensible, des notes éparses du jésuite italien nous informent que peu de temps avant sa disparition il était parvenu à reproduire la prononciation d’une langue antique disparue, et à ‘‘reconstituer une tragédie représentée à Rome 169 ans av. n. è., à l’occasion de la fête des ‘‘Jeux Apolliniens’’, et dont le texte avait été détruit’’. Grand physicien et métaphysicien, le Père répondait aux questions d’universitaires américains venus lui rendre visite. Une telle réussite ne fut possible que parce que le Temps n’est rien dans l’Infini cosmique (confirmé par le physicien anglais Stephen Hawking). Tous les évènements du monde, depuis la construction des pyramides, l’assassinat de CESAR ou le simple geste que nous venons de faire en levant notre verre, ne cesseront jamais d’exister… Ces informations s’éloignent de nous, portées par la lumière, car les univers se suivent et véhiculent des signaux-informations cumulés...………