"Les 7 raisons de croire à l'au-delà" J. J. Charbonnier

 

      Le docteur Jean-Jacques CHARBONNIER médecin anesthésiste-réanimateur, auteur de plusieurs livres sur les états de conscience modifiée et les expériences de mort imminente, a acquis la certitude que la vie ne s’arrête pas au moment de la mort mais se poursuit dans une autre dimension parfois perceptible.
     Et si nous avions suffisamment de preuves pour pouvoir prétendre que l’au-delà existe ? Et si ces bonnes raisons de croire en l’au-delà étaient au nombre de sept ? C’est ce qu’essaie de démontrer l’auteur de façon claire et concise.
     De récentes études démontrent que croire en l’existence de l’au-delà stimule les défenses immunitaires, améliore le pronostic des maladies liées au stress, et augmente l’espérance de vie.  

                                                                                      

 

La rencontre avec les défunts

     Il arrive très souvent que les sujets rencontrent des parents ou des amis défunts pendant leur NDE. Le plus troublant, c’est que dans certains cas ils ne savent pas au moment de l’expérience que ces connaissances étaient déjà décédées !.....
     Plus surprenant encore, le cas de Mathieu Meilleur qui a aussi rencontré au cours de sa NDE une entité qu’il ne connaissait absolument pas. Plusieurs jours après son expérience, sa petite amie lui montre « par hasard » la photo de son ancien compagnon tué dans un accident de moto. Mathieu Meilleur reconnaît tout de suite le malheureux motard comme l’entité qui s’était présentée à lui dans sa NDE !!!

 

 

Les NDE chez les aveugles

     Autre argument pour contrecarrer la thèse hallucinatoire : les aveugles sont en mesure de donner des informations visuelles relatives à leur réanimation. Que leur handicap soit congénital ou acquis, ils trouvent ou retrouvent la vue pendant leur NDE. Plusieurs chercheurs se sont penchés sur cette incompréhensible performance sans pouvoir donner la moindre explication. Comment serait-il possible de « voir sans les yeux » ?

 

 

 Du chapitre : Un esprit hors du corps

     Cas n° 1 : L’histoire de Jacques D.

     «  Je suis ostéopathe parce que c’est la seule façon que j’ai trouvée pour soigner les gens de façon officielle en me servant de mon magnétisme. Cette nuit-là, j’étais allongé à côté de ma deuxième femme. Ni elle ni moi ne dormions. Je sentais qu’elle se faisait du souci et que c’était cette préoccupation qui l’empêchait de trouver le sommeil. Il était plus de trois heures du matin et son fils de seize ans qu’elle avait eu lors de son premier mariage n’était pas encore rentré à la maison. La sentant très anxieuse, je lui dis : « Ne t’en fais pas, je sors de mon corps et je vais le chercher ! » En moins d’une seconde, je me suis retrouvé devant lui. Il était dans un café et buvait des bières.      Je l’ai regardé droit dans les yeux et je lui ai dit d’un ton très autoritaire : « Bon, maintenant ça suffit, tu as assez bu, tu rentres de suite à la maison ! De suite tu m’entends !!! » Il regardait devant lui comme s’il pouvait me voir, mais il ne le pouvait pas bien sûr. Pour lui comme pour les autres, j’étais totalement invisible. Je savais qu’il allait m’obéir. Je suis revenu dans mon corps et j’ai dit à ma femme : « Ne t’inquiète pas, je l’ai vu, il va bien, il est dans un café, il va bientôt rentrer. » Effectivement, environ une demi-heure plus tard, on a entendu ouvrir la porte de sa chambre. Plus tard dans la journée, quand je lui ai demandé pourquoi il était rentré si tard à la maison sans nous avoir prévenus, il m’a répondu : « Tu sais, papé Jacques, j’étais avec des copains et je n’ai pas vu le temps passer, sauf qu’à un moment donné, je me suis rendu compte d’un seul coup  qu’il était très tard et alors je suis rentré. » Quand je lui ai dit que c’était moi qui étais venu le chercher en sortant de mon corps pour lui demander de rentrer à la maison, il s’est esclaffé en me disant que c’était complètement impossible. Mais quand je lui ai fait la description précise du café où il était et que je lui ai dit qu’à côté de lui, il y avait une table où un jeune couple se disputait violemment, sa tête a changé. Dans la soirée, il est venu me voir et m’a dit : « Papé Jacques, je te demande une chose, promets-moi que tu ne viendras jamais me voir quand je fais l’amour ! »

 

 

Du chapitre : Les signes de l’au-delà

    
     Le Père François Brune est mondialement connu pour ses travaux de recherche concernant une bien singulière discipline appelée TCI ou transcommunication instrumentale. Pour la majorité de nos contemporains, cette science qui consiste à vouloir communiquer avec les défunts en enregistrant leur voix est totalement inconnue ; elle est pourtant utilisée par des milliers de personnes un peu partout dans le monde. Ce singulier moyen de mise en relation avec l’au-delà serait, selon le père François Brune, étudié dans le plus grand secret par des équipes de chercheur au Vatican à Rome.

     Quand j’ai appris l’existence de la TCI, j’ai d’abord pensé, comme tout « Léon » digne de ce nom, qu’il s’agissait d’une vaste fumisterie réservée à une population de naïfs ou de charlatans. J’ai aujourd’hui radicalement changé d’avis car j’ai vécu une série d’expériences bouleversantes qui me conduisent à penser que dans des conditions bien particulières, les « consciences » des disparus peuvent s’exprimer de cette façon.

 

 

 Les aiguilles folles

     Il n’est pas rare de constater que les marqueurs du temps s’arrêtent de fonctionner au moment d’un décès. Montres, horloges, pendules et réveils s’immobilisent à l’instant précis où le cœur de leur propriétaire cesse de battre.

     Mon père est parti de l’autre côté du voile le 4 juillet 2006 en faisant sa sieste. Il ne s’est jamais réveillé. Il était très intéressé par mes recherches sur les expériences de mort provisoire mais beaucoup plus sceptique que moi sur l’existence possible d’une vie après la mort. Nous avions convenu d’un accord. Se sachant très malade du cœur, il m’avait dit que s’il avait une vie dans l’au-delà, il me le ferait savoir par l’intermédiaire de l’horloge comtoise qui trônait dans un coin de sa salle à manger. Or, le 4 juillet 2006, à l’heure précise de son décès, les aiguilles de la fameuse comtoise se sont définitivement immobilisées. S’il s’agit d’une simple coïncidence, il faut quand même reconnaître qu’elle est plus que troublante étant donné que cette horloge ne s’était jamais arrêtée.

     Le Dr Jean-Pierre Postel m’a adressé un courrier dans lequel il me raconte une étrange expérience vécue avec son fils dans le box de réanimation où son père était sur le point de mourir :
« Nous étions avec mon fils au chevet de mon père lorsque les aiguilles de la pendule accrochée au mur se sont mises à tourner à toute vitesse et ensuite elles se sont replacées toutes seules en position normale pour indiquer une heure correcte. Je ne sais pas du tout comment ce phénomène a pu se produire et pourquoi il s’est produit, mais en tout cas, nous n’avions pas rêvé puisque nous étions deux à avoir vu la même chose.